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Commentaire de Marc Bruxman

sur La valeur travail à l'heure de l'économie de la connaissance


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Marc Bruxman 29 juin 2012 00:36

« Bien évidemment qu’il y a assez de travail pour tout le monde. Si on décide de produire de la qualité et plus de la merde. »

Dans un monde ou l’évolution radicale est reine, il ne sert à rien de produire de la qualité comme vous dites. La merde tombera en panne au bout de quelques années mais ca tombe bien car les gens voudront la changer pour acheter le dernier truc mieux. Aucun intérêt donc ! ! ! !

"Par exemple, si on veut manger autre chose que de la nourriture empoisonnée, il faudra diminuer de beaucoup la productivité du secteur primaire (sans pour autant toucher au rendement, voire en l’améliorant). « 

La nourriture n’a jamais été aussi sure quoi qu’en disent les écotalibans. Ce mouvement de sécurisation va continuer. Le bio est un marché de niche et le restera.

 »Ce n’est pas la valeur travail qui est périmée, c’est la valeur profit, qui n’a jamais été morale (il faut bien le faire sur le dos de quelqu’un d’autre), profit qui conduit à un vol organisé qui devient de plus en plus intenable pour l’environnement et pour les volés. A quoi sert l’obsolescence programmée (les produits jetables) ? A nous rendre heureux ? Non à faire des profits plus gros en obligeant à une surconsommation (parfois consentie par la mode, hélas)."

Le profit est ce qui fait marcher le monde car les gens ont besoin d’une carotte pour avancer. Vous ne changerez pas cela.


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