Désolée : une mauvaise nouvelle que je reçois à l’instant :
Bonjour !
Vous pouvez signer et diffuser
largement la pétition que nous lançons sur Avaaz pour demander à
François Hollande de ne pas recevoir Ali Bongo (le 5 juillet non
officiellement confirmé).
Plus elle est signée vite, plus elle a des chances d’avoir une grande
visibilité ! Merci de la diffuser largement à vos contacts afin de peser
le plus vite possible !
http://www.avaaz.org/fr/petition/M_Hollande_ne_cautionnez_pas_la_dictature_ gabonaise_en_recevant_Ali_Bongo/?cEkwbbb
M. Hollande, ne cautionnez pas la dictature gabonaise en recevant Ali Bongo !
Pourquoi c’est important
Depuis 1967, le soutien
politique et militaire français a permis à Omar Bongo de se maintenir en
échange de l’accès au pétrole et à l’uranium du pays et du financement
des partis politiques français de tous bords, comme le révéla la célèbre
Affaire Elf. Il fut un dictateur brutal qui détourna une part
importante des revenus pétroliers du pays.
Son fils Ali Bongo, mis en
cause en France dans l’affaire des biens mal acquis et arrivé au
pouvoir en 2009 à la suite d’élections truquées et de violences, suit le
même chemin. La répression et les emprisonnements à l’encontre des
étudiants et des membres des partis d’opposition et de la société civile
au début du mois de juin en témoignent une nouvelle fois.
Le Parti Socialiste français a dénoncé le soutien français à Ali Bongo
depuis 2009. En campagne, François Hollande lança « je veux que le 6 mai
soit une bonne nouvelle pour les démocrates et une terrible nouvelle
pour les dictateurs » et s’est engagé à mettre fin à la Françafrique.
Pourtant, contre toute attente, il a prévu de recevoir le dictateur gabonais le 5 juillet.
Pour concrétiser la République irréprochable qu’il a promise et pour
apporter un réel soutien aux démocrates gabonais qui se mobilisent
pacifiquement au Gabon, François Hollande ne doit pas apporter de
caution diplomatique au régime dictatorial gabonais.
Ne pas recevoir
Ali Bongo, c’est un acte simple et sans ingérence qui envoie un signal
fort pour la démocratie et un premier pas vers la fin de la
Françafrique.