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Commentaire de morice

sur Affaire Merah : on a menti sur les circonstances de sa mort


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morice morice 2 juillet 2012 22:24

n’excluons pas l’idée en effet... mais bon faut déjà bien connaître.. le gus, avoir sa carte... ce qui fait que ça ne peut qu’être une guerre de police


n’oublions jamais que dans la semaine où Merah se fait finalement coincer, Squarcini est confronté à une manif contre lui, déguisée en revendication de salaires

je demeure persuadé que ce qui sort et va encore sortir était lié à une guerre des services....

http://delinquance.blog.lemonde.fr/2012/03/14/une-manifestation-historique-chez-les-policiers-de-la-dcri/

HISTORIQUE ; la manif, qui a lieue le 16 mars à la DCRI....

A la manoeuvre, la section du syndicat d’officier SNOP. Pour un responsable syndical, c’est un « ras-le-bol général » qui est en cause : « Cela fait des mois que ça bout. » Des problèmes de « gestion humaine », dans une direction où « tout est opaque ». C’est la nomination d’un commissaire sorti d’école dans l’un des services qui a déclenché l’ire des officiers. Pour les officiers, le choix d’un commissaire débutant plutôt que celui d’un commandant (le grade le plus élevé chez les officiers) témoigne du manque de considération que la direction leur porte.

TOUT EST OPAQUE. comme le séjour à volets fermés de Merah.


Autre élément aggravant, qui est directement en cause ici, « le recrutement massif de jeunes commissaires sortis d’école à des postes élevés », estime Floran Vadillo, spécialiste des questions de renseignement. Un moyen, pour le directeur, Bernard Squarcini, de « faire disparaître la culture ST et la culture RG au profit d’une culture RI », explique M. Vadillo. Avec, comme victimes collatérales, les officiers.


des jeunes plus dociles se seraient fait doubler par des vieux grognons ?

Mais le malaise vient aussi de la personnalité contestée de Bernard Squarcini. « Il y a un effet d’opportunité. Le directeur central est fragilisé. Il n’arrive plus à tenir sa maison », explique Floran Vadillo. Déjà mis en examen, en octobre 2011 par la juge Sylvie Zimmerman, dans l’affaire des fadettes des journalistes du Monde, M. Squarcini a récemment été mis en cause dans le livre L’Espion du président, des journalistes Olivia Recasens, Didier Hassoux, Christophe Labbé (Robert Laffont). La publication de cet ouvrage a secoué la DCRI. L’accélération de l’enquête sur le cercle Wagram, affaire dans laquelle une des proches de M. Squarcini est mise en examen, commence aussi à déranger à Levallois-Perret. Enfin, le nom du directeur apparaît dans le cadre de l’affaire Guérini. Un responsable syndical s’inquiète de« la pression médiatique » que subissent les policiers en raison de la personnalité de leur chef.

Merah, il l’a joué à la roulette, comme à la salle Wagram ?

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