Je ne crois absolument pas que vous ayez été un jour au Chili, le fait d’utiliser des mot d’argot chilien (paco) ne me prouve rien. Sinon pourquoi ce thème des manifestations au Chili vous obsède tant ?
« Entre les dégâts urbains et les dégâts humains, faite votre choix. »
Mon choix c’est aucun des deux. Je tiens à vous signaler que je paye des impôts à la commune de Santiago, et cela m’embête de savoir que cet argent est utilisé à rembourser leurs dégâts, alors qu’il pourrait être investi dans l’amélioration de l’infrastructure urbaine et ainsi améliorer la qualité de vie de chacun des habitants de la commune. Je vous signale également que de nombreux commerçants ferment les jours de manifestation, ce qui se traduit par un jour en moins de travail. Pas grand monde pense à eux.
Par contre Gabriel Boric, malgré le fait que son père est gérant de l’ENAP et gagne plus de 15 millions de pesos par mois, se prend pour un prolétaire et appelle à la révolte du peuple (dont il ne fait pas parti) contre la bourgeoisie (dont il fait partie). On peut dire la même chose de Camilla Vallejo qui vit dans un des quartiers les plus luxueux de Santiago. Ces gens là donnent envie de vomir, surtout qu’ils sont extrêmement fermés à l’idée d’intégrer au sein de la FECH des jeunes issus de milieux modestes.