@ France libre
Je n’ai pas le temps ni l’envie de répondre point par point à votre commentaire une nouvelle fois extrêmement aggressif, ce que je déplore. Quand les militants de l’UPR comprendront-ils qu’adopter cette attitude ne fait que desservir leur cause ?
Lorsque je lis que vous prétendez que votre commentaire est basé sur des analyses, je crains que nous n’ayons pas la même acception de ce mot. Analyse, cela veut dire un jugement (et non des a priori) apposé sur des faits (et non sur des calomnies).
L’assimilation que vous faites entre le programme européen de Nicolas Dupont-Aignan et ceux de Nicolas Sarkozy ou de François Hollande est d’une bêtise à pleurer. Si vous n’êtes pas capable de voir les différences, personne ne peut rien faire pour vous (et dans ce cas, je vous conseille sincèrement d’arrêter de militer pour votre parti, dans l’intérêt de ce dernier).
Sur l’euro, je n’ai rien d’autre à ajouter que ce que j’écrivais. La position de DLR a évolué, parce que notre parti entendait respecter le référendum de Maastricht. Référendum contre lequel Nicolas Dupont-Aignan s’était élevé... Et à l’époque, François Asselineau était resté muet...
Votre analyse de la domination amércaine est ridicule de naïveté... Si vous croyez que les choses sont aussi simples que cela !
Je me permets de redire avec force que le programme de Nicolas Dupont-Aignan n’est en rien « droitier » : sur les radars, Nicolas Dupont-Aignan a simplement souhaité qu’ils soient implantés en fonction de la dangerosité des routes plutôt que de leur rentabilité.
Contrairement à l’UPR, nous ne soucions pas de ce que dit Marine Le Pen pour en prendre systématiquement le contrepied.
Je vous invite à relire mon message, à cesser de propager des calomnies idiotes (comme sur le soi-disant appel à voter Nicolas Sarkozy en 2007 qui n’a jamais existé que dans votre imagination).
J’espère que l’UPR arrivera à grandir un peu et à cesser ses attaques puériles et contre-productives contre DLR. Est-ce trop demander ?