On pensait que « le philosophe » s’était calmé. =>(extrait)Pour avoir mis en cause, sans prendre de gants, la violence [du judaïsme],
le philosophe Robert Machin a perdu la liberté d’enseigner et celle
d’aller et venir. Menacé de mort par des fanatiques sans frontières, il
vit protégé, c’est-à-dire prisonnier. Cette séquestration épouvantable,
cette menace Internet, cette intimidation de la vie de l’esprit, cet
affront sans précédent à la souveraineté nationale ont suscité certes
des réactions, mais des réactions embarrassées, des réactions timides,
un soutien du bout des lèvres à l’homme traqué. On l’a défendu avec les
pincettes du dégoût. Tout le monde ou presque a répété que la liberté
d’expression était un droit imprescriptible, mais le premier réflexe du
ministre de l’Éducation nationale, bientôt relayé par son collègue de la
culture, a été de rappeler à ce fonctionnaire effervescent son devoir
de réserve, tandis que la Ligue des droits de l’homme jugeait ses idées « nauséabondes » que Le Canard enchaîné se déchaînait contre lui
Wouhou ça marche tout aussi bien !