Vous savez, mon texte peut être pris au premier comme au second degré, selon votre manière d’envisager l’existence, les rapports entre les hommes. Je ne suis pas du tout d’accord avec l’argumentaire que vous déployez dans votre commentaire en lien, en particulier quand vous faites intervenir les animaux. L’homme intègre et déploie toute une intelligence que le monde animal n’intègre pas, qui nous permet d’être là et d’échanger sur des idées, des faits, des citations, d’être en désaccord sur la manière d’appréhender l’existence, puisque ce choix nous l’avons. Nous sommes des mortels, c’est incontestable, et chacun se réalise par ce qu’il juge être le meilleur pour sa personne, que se soit en faisant le choix du mal ou du bien. Il est plus aisé de dire des bêtises que d’avoir des paroles intelligentes, plus facile de faire du mal que du bien, et le choix de la facilité est celui naturel pour l’homme, pour celui qui ne veux pas faire de compromis, d’éfforts ou de sacrifices, surtout quand il est en position de force.