@ Leo Un quiproquo évident.

Dit autrement. Les féministes crient à la misogynie pour essayer de mettre leur faute sur l’Autre.
Je donnais juste un autre exemple, pris au hasard dans les petites histoires vécues au quotidien, ayant assisté dans un bus à une embrouille entre une mama africaine, sa fille et les contrôleurs. La mère et la fille hurlaient comme des tarées au racisme, alors qu’elles n’avaient pas de billets. Elles se sont bien affichées ...

C’est tout.

Pour l’intelligence, le nombre de neurones et de connexions synaptiques semblent être, en effet, étroitement liés ... mais le nombre de neurones et de connexions est lui aussi lié à la taille. Particulièrement au sein d’une même espèce : les neurones masculins et féminins étant identiques, on en met forcément plus dans un cerveau plus grand.

Des femmes plus intelligentes que des hommes, il y en a forcément ... c’est statistique.

Mais ce n’est pas parce qu’il existe des albinos aux yeux rouges qu’on peut raisonnablement en faire une généralité.

Les femmes n’ont pas été bridées par les hommes, comme elles voudraient le croire, mais par la Nature.
On nous ressort sans cesse que si les femmes n’ont quasiment pas participé au progrès technique, c’est parce qu’elles étaient brimées par les hommes. C’est faux.
Les hommes ayant laissé une trace dans l’Histoire étaient majoritairement issus des classes favorisées (peu de traces d’un maçon quelconque egyptien, d’un légionnaire romain lambda ou d’un serf bien français) et les femmes n’ont pas été particulièrement brimées dans ces milieux.
Croire que les femmes à la Cour de Versailles faisaient la cuisine ou les tâches ménagères est une forfaiture historique. Les femmes de la Noblesse avaient tout leur temps pour écrire des livres, faire des expériences scientifiques, peindre des tableaux ..etc
Et par définition, il y en avaient autant que d’hommes Nobles.
Et l’Histoire a retenu quoi de la feminité de l’époque ?? « Et bien qu’ils mangent de la brioche ». C’est dire !
Maintenant, c’est clairement pas de chance d’être une femme (particulièrement lors d’un festival et qu’il faut aller pisser), mais les hommes n’y sont pour rien.