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Commentaire de John Ashfield

sur Homo sapiens : sale type !


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John Ashfield John Ashfield 26 juillet 2012 15:34

Je pense que l’homme n’est pas par nature plus hostile à son environnement qu’une autre espèce, il en a juste plus le potentiel.

Ce qui fait que l’on puisse avec le recul l’accabler de tout les maux et bien souvent à juste titre il ne s’agit pas ici de le dédouaner de ses responsabilités, est qu’il fut pendant longtemps dans son histoire en position de faiblesse fasse à une nature hostile, que cette état de fait a conditionné cet animal savent qu’est l’homme d’une manière toute particulière et non pas dans la singularité de son traitement (bien des espèces souffre de bien des façons) mais dans sa capacité à y répondre.

Il est simple de comprendre que ce besoin pathétique de tout contrôler et de tout maitriser, viens du formidable sentiment de vulnérabilité de l’homme, toutes ses aptitudes à répondre de manière violente ne sont que les conséquences de ses peurs, nourris par un passé qu’il lui fut hostile et d’une ignorance sans limite.

Alors certes l’homme ne peu pas réécrire son histoire mais il peut la comprendre, il peut aussi comprendre son influence, l’homme peut certainement le pire comme le meilleur et comblé son manque apparent de sagesse et maitriser non pas son environnement mais ses peurs par le savoir, sortir de l’obscurité de l’ignorance, pour un jour se connaitre et se maitriser lui même.

La situation actuel est catastrophique, sur tout les plans, humains, environnemental, etc, personne de sensé ne serrait honnêtement le remettre en doute et cette situation est imputable pour l’essentiel à l’homme, mais ce discours sur la culpabilité de l’homme et la critique de sa nature est de mon point de vue, une vision, que si néanmoins je respecte (à prés tout, chacun a le droit d’exprimer son point de vue) me parait emprunte d’un sentiment de colère, de peur, d’incompréhension et à certain égard peu se montrer dangereuse.

Montrer du doigt un coupable, peut importe qu’il fut pris sur le faite et que sa culpabilité fut avéré, cela ne nous explique en rien le pourquoi, la criminalité n’est pas une fatalité un phénomène naturel immuable et ce quel quand soit l’échelle, elle doit être dénoncée et proscrite mais punir des être pour ce qu’ils ont fait n’a jamais servi à expliquer les causes, ni permis d’éradiquer ce type d’actes. (qu’ est ce qui dans leur environnement, dans leur histoire les a mené à ces actes, comment redéfinir ces paramètres pour ne plus voire ces schémas se répéter, voilà plutôt les bonnes questions à se poser)

La manière d’appréhender une problématique donné, donne des résultats bien différents, l’homme à parmi nombre de ses défauts une forte tendance à prendre des raccourcis pour le traitement de l’information, le résultat est aussi tronqué que la manière avec laquelle nous les abordons, les raccourcis nous offrent que des réponses satisfaisantes le plus souvent sur le plan émotionnel et non sur le plan rationnel.

En résumé il est facile de tapé sur les doigts du premier coupable qui nous tombe sous la main pour répondre au sentiments d’injustice ressenti, mais le soulagement du au retour à un equilibre aprés avoir été vengé, est un leurre qui n’offre aucune solution durable ni offre un véritable sentiment de justice.

Mon commentaire est strictement personnel et ne s’impose pas comme une vérité, l’humilité m’en garde bien heureusement, il est en réponse autant à l’article qu’a certain de ses commentaires et les enrichira positivement je l’espére, merci à vous tous pour vos pensées, peut importe leurs natures elles n’arrêteront pas de me nourrir et de m’inspirer.

      


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