Le réchauffement climatique provient de la surconsommation actuelle, dont la déforestation est aussi une des composantes, comme les glaces du groenland (pays vert du nom d’origine pour vous faire plaisir). Les 3ème et 4ème pays les plus producteurs de Co2 sont le Brésil et l’Indonésie, qui par la culture intensive détruise les espaces de vie végétales et animales, et la participation des forêts à l’oxygène.
En quittant le monde des glaces (vertes ?), on apprends que l’acidification des océans, c’est à dire les zones mortes (taper et voir sur wikipédia) asphyxie, diminue la vie marine et ne permets plus les transferts d’oxygène vers l’atmosphère (ce qui était plus courant en 1889). En poursuivant, on constate une desertification des sols, un appauvrissement des sols qui sont des lieux de stockage de Co2, et dont la culture intensive qui se développe depuis la seconde révolution agricole, réduits les capacités terrestres de participer au cycle (très méconnnu visiblement) du carbone.
Si on poursuit sa recherche, on constate que les rejets de gazs à effets de serre ont augmentés depuis la seconde révolution, industrielle, c’est à dire bien après 1889. Le développement du charbon, et du pétrole après cette date, a permis de commercialiser des produits à l’échelle mondiale. Le seuil scientifique de Co2 dans l’atmosphère est scientifiquement calculé à 350 ppm, et a été dépassé à environ 390 ppm.
On peut se contenter de la (très contestée) bourse du carbone, et ses apports monétaires, qui n’empêche pas le Canada de s’y retirer avec une dette de 30 milliards de dollars canadiens, afin de l’effacer. De parler des bénéficiaires d’une capitalisation boursière, qui se veut être le plus « proche » d’une bio-compatibilité.
L’acidification des océans, la progression des rejets de carbone et de méthane, l’épuisement des sols, la déforestation ou la diminution de la biodiversité expliquent apparemment les bénéfices de la bourse de carbone (?).