@ Edelweiss
Merci de votre intervention très pertinente.
@ Chria
Vous alignez quand même une série de déclaration péremptoire sur le fait que « aucune découverte, aucun scientifique sérieux etc. ne remet en cause la théorie du GIE ». Malheureusement pour vous, c’est tout simplement FAUX.
Allez, un exemple parmi d’autres pour vous faire plaisir : TOUS les modèles d’effet de serre utilisés par le GIEC prédisent que le réchauffement climatique devrait être plus important au-dessus de l’équateur dans la partie supérieure de la troposphère (10 km d’altitude). C’est le fameux « hot spot », considéré comme la « signature » de l’effet de serre et qui, sil était observé, serait donc une confirmation éclatante de la validité des projections des modèles. Hélas... Que croyez-vous que les mesures de températures par ballon-sonde et satellite ont montré ? Que cette zone de l’atmosphère se réchauffe environ 10 fois moins que prévu par les modèles, et semblent même plus froide que son environnement ! Damned ! Voici une prédiction majeure des théories du GIEC qui est radicalement contredite par l’observation ! Dans n’importe quel débat scientifique, cet énorme écart prévision-réalité remettrait sérieusement en cause les modèles théoriques de l’effet de serre. Croyez-vous que cela ait été le cas en climatologie ? On rigole.
En affirmant que rien ne remet en cause les théories du GIEC, vous ne faites donc que répéter comme un perroquet la désinformation d’Al Gore et du GIEC selon laquelle « the science is settled ». Vous accusez les autres d’ « idéologie », mais vos interventions démontrent que c’est vous qui êtes partisan d’une thèse fausse, ou du moins sérieusement fragilisée, en refusant d’admettre qu’il y a peut-être un problème. C’est très exactement le contraire d’une démarche scientifique telle que définie par Carl Popper, laquelle consiste à défendre un modèle tant que les faits ne le contredisent pas, mais à être le premier à le remettre en question ou à l’abandonner si des éléments viennent l’invalider.