@CORBEAU : « il ne faut pas oublier que pour certains cursus post-bac, la mention est importante »
Bien sûr, le Bac non sélectif étant bradé, il faut bien, pour certaines « Grandes Ecoles », relever la barre.
Pour les nuls qui ont obtenus un bac sans mention, certaines facs (ici, une d’histoire) proposent une remise à niveau en français (dictées, ortographe).
« des difficultés telles que très probablement, à cause de l’orthographe, »
http://www.u-paris10.fr/65310892/0/fiche___pagelibre/&RH=dephis_ens
On croir rêver (ou plutôt cauchemarder)
Au fait : des études en histoire, quelles chances pour décrocher un job avec un master ?
Réveillez-vous:beaucoup de facs n’ont comme utilité que de garder des « étudiants » qui n’iront pas augmenter les chiffres du chômage. C’est une véritable « mise en otage » de ces étudiants qui ne trouveront, sauf cas particuliers, jamais d’emploi (propos rapportés par un de ces étudiants qui a eu a chance d’être reçu à un concours de la fonction publique et qui a compris que sa chance venait de se présenter. Comme il a ajouté « on nous pousse à continuer nos études mais nous savons que nous nous dirigeons vers un cul-de-sac »). C’est une véritable arnaque : on paie des profs qui enseignent des disciplines, peut-être intéressantes sur le plan culturel, mais qui ne trouveront jamais preneur sur lemarché de l’emploi. Et c’est le contribuable qui paie ! Est-ce « moral » ?
Rien à voir avec les Grandes écoles : H.E.C., Ecole Centrale...) qui, elles, recrutent les meilleurs...
Il faudrait rester cohérent : un diplôme qui n’est plus sélectif n’a plus aucune valeur.
Est-ce si difficile à comprendre ?