Commentaire de Christian Labrune
sur Le jour où ma colère a changé de bord (1)
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Si on voulait une caricature de ce que dénonce l’auteur de l’article, eh bien on vient de l’avoir. Nous sommes dans un monde d’esclaves, rongés jusqu’à l’os par le ressentiment et qui n’ont pas d’autre moteur que la haine. Depuis les massacres de septembre 92, dans le têtes les plus étroites, il n’y aura jamais rien d’autre que le mirage tremblotant d’une petite guillotine. Faut qu’ça saigne ! Quel monde !
Derniers commentaires
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31/07 17:58 - Traroth
Pour bien vous mettre les points sur les i : j’ai délibérément choisi l’holocauste (...)
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31/07 17:29 - Traroth
HAHAHA !!! Elle est bonne, celle-là ! Vous jouez les mal-comprenants, en plus ! :-D Ce (...)
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31/07 17:27 - simplesanstete
à l’ homme libre, joli jeu de mot, changé de bord. Si vous avez lu Debord il est grand (...)
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31/07 14:05 - sam turlupine
Il n’y a plus rien Que les pères et les mères Que ceux qui t’ont fait Que ceux (...)
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31/07 14:00 - sam turlupine
"Ce n’ est pas la conscience des hommes qui détermine leur existence, c’ est au (...)
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31/07 13:52 - sam turlupine
La revanche des bâtards, des petits, des moches, des cons, des merdeux, des impuissants qui (...)
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