Bien sûr, les démonstrations et les cohérences des « règles de calculs » sont essentielles dans une vision d’unité des mathématiques.
Tout à fait d’accord également avec l’idée d’interdire la calculette, mais seulement dans certains contrôle. En maths, en fait, car celles qui permettent le calculs formels peuvent tout faire ! En sciences physiques et chimiques, c’est différent car pour établir l’équa diff d’un circuit en utilisant les lois de Kirchoff, la calculette ne peut pas le faire. Alors bien sûr, il existe la mémoire « alphanumérique » surdimensionnée... mais une bonne surveillance permet de palier au problème. En fait je suis contre ses sujets de bac ou des « aides aux calculs » donnent des approximations à certains rapports numériques. L’objectif est de former des scientifiques en utilisant les moyens techniques qui existent.
En fait j’étais personnellement surpris, après les classes préparatoires (au début des années 90) dans lesquelles étaient autorisées les calculettes (qui avaient déjà de bonnes capacités), lorsque j’intègre la fac pour faire astrophysique à Toulouse, seule une « casio collège » était possible. Inquiet au départ, puis j’ai véritablement apprécié l’analyse de réflexion qui en résultait par « extraction/suppression d’un support technique ».
C’est pourquoi je ne suis pas pour ou contre, disons que je suis contre dans les études supérieures (y compris classes prépa) et pour au lycée d’une manière générale en sciences et contre en maths (de temps en temps).