@ Gala.in.the.sky :
D’accord avec vous que cet article ne mérite pas de virulence. Je trouve l’auteur honnête et développant ses valeurs. Je ne suis pas d’accord avec le féminisme, surtout le radical mais il a hélas contaminé un peu tout. Je n’aime pas les clans. Je ne peux concevoir que le féminisme est simplement la liberté. La liberté est la liberté. le féminisme est un corpus théorique et idéologique avec ses passages obligés (nombreux) et sa construction sur le dos des hommes.
Je n’ai jamais vécu avec une femme qui cuisine bien. Moi-même je ne cuisine pas bien du tout. Donc on fait au mieux ! Ce n’est pas ma priorité. Mais je trouve très regrettable de balancer à tous bouts de champs que la femme qui fait la cuisine est aliénée. D’abord cela vient de la répartition des rôles : aux hommes les champs, aux femmes la maison. Chacun son territoire. (Cela dit les femmes étaient aussi beaucoup aux champs).
Savoir bien cuisiner est un plus pour la santé de la famille. Et pour le plaisir d’être ensemble autour de la table. Manger avec plaisir et donc cuisiner c’est une éminente fonction sociale. Je ne vois rien qui diminuerait les femmes si ce sont elles qui cuisinent. Le corpus théorique féministe a rabaissé les femmes, les a dénigrées. Quelle tristesse.
Mais réduire une femme à une planche à repasser et un homme à un savoir-faire, je n’ai jamais connu. je crois que les choses sont bien plus simple dans le monde réel. Dans le conte de l’ogre et le cauchemar domestique décrit par le féminisme, tout est terriblement compliqué. Dans la vraie vie, si l’un des deux a un talent il s’y colle. S’il n’y arrive pas on appelle un mécanicien. C’est comme cela que j’ai toujours vécu mes couples. descendre la poubelle ? Celui qui y pense, ou qui est disponible. Faire les courses ? Souvent ensemble.