@ Alinea
Votre contre-exemple ne prouve pas grand chose de plus que la soit-disant « étude » de la jeune femme à Bruxelles. On ne tire pas une règle de 2 ou 3 cas particuliers.
Il est par contre évident que, si l’on parle de certaines cultures et/ou religions, le fait qu’hommes et femmes vivent séparément quand, de plus, ces dernières sont souvent recluses au foyer ou masquées par des tchadors et autres voiles, peut entraîner une frustration pour ces hommes qui, eux pouvant se promener librement en short et marcel, ressentent une sorte de déchirement culturel à la vue d’une jolie femme plus ou moins légèrement vêtue. Il est d’un côté outré, déstabilisé à la vue de cette demi-p... infidèle, et de l’autre il est attiré et ressent de l’excitation. L’éternel dualisme Nature et Culture ! (Je parle ici de minorités dans les minorités, sans vouloir généraliser outre mesure, mais ne pas vouloir voir cet aspect du problème serait une hypocrisie à laquelle je me refuse).
Mais cette explication serait un peu courte si l’on n’y ajoutais pas deux facteurs essentiels : le niveau d’éducation et l’intégration sociale (qui vont souvent de pair), et là, toute la population, sans distinctions d’origines est touchée.
La seule solution à ce problème serait donc : 1) se donner enfin les moyens de l’éducation de tous, 2) l’intégration socio-économique de tous et, 3) l’assimilation réussi des populations d’origines étrangères. On comprendra donc aisément qu’on est mal barrés et qu’il est bien plus simple de faire du bruit médiatique et de culpabiliser l’homme en général que de remédier aux racines du problème !