@ Loatse (du 10 à 01 h
47)
Vous ne m’avez pas
compris. Mon commentaire visait à faire prendre conscience à la future
journaliste que les crimes pédophiles de religieux professionnels, dans l’église catholique
et dans les autres structures de responsables religieux, ne sont qu’une petite
partie de la relance actuelle de la
violence religieuse.
Et que celle-ci a progressé
partout, ces dernières décennies, principalement sous la pression de l’islam et
des islamistes qui, eux, PRATIQUENT les
pires de toutes les violences
religieuses. C’est ce que j’ai tenté de montrer dans mes nombreux articles sur
ce sujet, notamment ici :
http://www.centpapiers.com/la-decennie-au-profit-des-enfants-du-monde-va-finir-en-catastrophe/76309
et ici :
http://blog.sami-aldeeb.com/2011/09/18/benoit-xvi-premier-responsable-de-la-violence-religieuse/
(trois sites ont
publié ce second texte, dont Agoravox mais avec des erreurs de ma part qui
compliquent la lecture. C’est pourquoi je propose dorénavant celle-ci sur le
site « Savoir ou se faire avoir », que je trouve particulièrement utile
à ce genre de réflexion, dans une liberté responsable exemplaire).
Mais je suis bien
d’accord avec vous, le fait que les crimes pédophiles dans l’Eglise, et
l’entêtement de la hiérarchie à vouloir les minimiser et les faire échapper à la Justice de tous - ce qui
est bien exposé par consti - est un progrès dans cette terrible époque où entrent
nos enfants.
Il y a d’autres
progrès, par exemple celui qui est représenté par l’excellent livre "Qui
est Dieu ?" de Jean Soler. Très vite à sa lecture on voit que la plus utile
démarche de l’auteur est dans son combat pour l’honnêteté dans l’étude de l’histoire religieuse et dans l’utilisation
des éléments apportés par d’objectifs chercheurs précédents (dont lui-même durant toute sa vie d’essayste).
Mais les réactions à
la publication de ce livre ont laissé penser que la saine prise de conscience
est encore très faible et que, même chez de prétendus athées défenseurs de la
laïcité républicaine, c’est la protection de la prétendue « vérité »
révélée qui doit être protégée avant tout, même quand il s’agit de croyances criminogènes.
On procède un peu plus
vite que durant les siècles qui nous séparent de Richard Simon et de Spinoza, mais
l’avancée dans l’honnête traitement critique de la religion reste très lente
et, compte tenu de l’épouvantable progression de l’islam, il y a de quoi rester
très pessimiste.
Ce qui domine c’est
toujours : quelles que soient les tricheries des « dignitaires » des
églises il faut les respecter.
C’est pourquoi je
trouve nécessaire que les étudiants journalistes se penchent sérieusement sur ce sujet, sur lequel leurs confrères d’aujourd’hui continuent,
pour la plupart, de tricher aussi manifestement que les institutions des
monothéismes.
Et il est bien évident que ce n’est pas dans les amphis de ce qu’est devenu Sciences Po qu’on le leur dira. (voir éventuellement aussi à l’adresse ci-dessous).
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ceux-de-la-gauche-qui-ne-veulent-77346