Mais le chômage, c’est un truc qui bouffe tout le monde sans différence de nationalité.
Et bien-sûr que la Suisse ne va pas s’en sortir sans les échanges internationaux car on a PAS de ressources, haha. On est un pays de services. Mais ça, ça va continuer de toute façon ! Les parlementaires suisses vont pas s’amuser à viander tout ça, sinon ils ne mangent pas non plus. Et comme le secret bancaire est que chez nous, y’a pas de raison qu’ils coulent la Suisse pour foutre le camp ailleurs. On est beaucoup trop bien en Suisse en tant que riche.
L’important c’est qu’on fait des échanges internationaux.
Après, ... ce qu’on s’en tamponne de l’image que l’on renvoie au monde du moment qu’on reste un pays sans manif’ ni aucun problème ! Si l’économie suisse va bien... On va pas psychoter sur le fait que des gens nous aiment pas pour X raisons.
Encore après, votre problème, c’est comme les humains : la personne égocentrique, qui a besoin de l’attention et admiration des autres MAIS qui reste influençable, elle se coule car elle s’inquiète de détails à 2 francs. Si on transpose cela sur la thématique de l’article, il faudrait que la Suisse reste intègre, s’en foute de son image et simplement respecte les conventions internationales et basta, pour faire marcher son pays. Même que notre « mauvaise image » plairait à des géants comme la Russie. Et être copain avec la Russie, c’est quand même plus pratique qu’avec la Norvège.
Là ,je sens que l’UE pourrait commencer à faire de la mauvaise foi justement avec votre argument « OUAIIIIIIS, EUH, FRANCHEMENT, QUOI ! Nous on galère, c’est pas cool que vous galériez pas avec nous, soutien, tu vois ! » Alors qu’on doit rien à personne, que notre paradis de pays existe car des gens ont voulu se démerder pour le monter , que le peuple vote, etc.
Dites si je me trompe, hein, mais je crois qu’on dépend de peu de choses. On a vraiment aucune raison de faire un acte de gentillesse solidaire dans un monde putes qui le reconnaîtra pas.
Et aux questions du développement de technologies et autres machins, la réponse est d’engager des chercheurs non-suisses, ce que l’on fait déjà. Car on est quand même, contredisez-moi si je me trompe de nouveau, un des pays le plus avancé un matière de recherche tous domaines confondus. Et surtout, pourquoi un brésilien irait faire de la recherche scientifique en France, Suède, Italie etc, alors qu’on a mille fois plus de confort en Suisse !
Faut maintenir la Suisse et pas se laisser tirer dans le caca parce que « ouah-là-là, ils nous prennent pour des méééééchaaaaants ! ». Le seul souci avec la Suisse, c’est peut-être l’absence de moyens violents pour se défendre en cas de malhonnêteté des autres pays qui feraient pression....