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Commentaire de XanderDjiff

sur Après Julian Assange, pour les Pussy Riot : au nom de la liberté d'expression


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XanderDjiff XanderDjiff 18 août 2012 16:19

Je pense qu’elles savaient tres bien ce qu’elle risquaient en faisant ce genre de truc. *ce n’est pas parce qu’elles ont un joli minois qu’elles peuvent se permettre de faire n’importe quoi en toute impunité.

On voit bien chez nous d’ailleurs, lorsqu’il y a profanation des lieux de cultes, surtout juifs et musulmans, ces actes sont punis lorsque les auteurs sont retrouvé.

Je suis pour la liberté et tout ce que ca implique de responsabilité, elles ont fait leur truc, qu’elles en assument les consequences. Nos braves damoiselles en detresse auront eu leur coup de pub, les fans et les « djeunz true rebelz » vont protester, la justice va suivre son cours, et ainsi va la vie.

Nous trouvons ces actes benins et leurs condamnations horribles, avec notre abscence quasi-totale de valeurs morales. Beaucoup de russes croient encore en quelque chose et trouvent ces actes blasphématoires, c’est leur choix, c’est leur pays.

Je trouve assez moche par contre les diatribes occidentales, dont la véhémence n’a d’egale que leur hypocrisie, si l’on cherche dans le passé de ces états, certaines affaires feront vraiment passer le occidentaux pour des gros ploucs arrogants et hypocrites.

Si elles avaient voulu eviter les sanctions les pussy riot auraient vraiment du venir jouer dans une Eglise orthodoxe, mais a Londres ou Paris, voire Washingtown, l’Occident adore ceux qui travaillent a saper l’autorité des adversaires à leur hégémonie.

Ouais, le seul truc déplacé dans cette affaire, c’est la diarrhée vebeuse libertaire des Occidentaux, qui feraient mieux de balayer devant leur porte avant d’emm..der le voisin.

Chacun fais la loi dans son pays. Si l’Occident n’accepte pas que certains états aient une vision differente de la sienne, qu’il accueille les « rebelles » de tous ces pays. Mais il n’a aucunement le droit de dicter sa conduite a une autre nation souveraine.
Surtout dans le cadre d’une affaire « PussyRiot » où la sanction peut paraitre sévère, mais appropriée, si l’on se place du point de vue russe qui est bien plus conservateur que chez nous.


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