Il est probable que des carences affectives aient une forme d’influence dans la construction d’une certaine forme de mal être. Cependant, je crains fort qu’elles ne soient plus le vecteur essentiel des passages a l’acte. Étrangement, plus un pays ce dit développé, ou, plus il se développe au sein de notre modèle de suicide collectif, et plus la courbe du nombre des suicides grimpe.
Le monde est tel qu’il est nous dit on ? Que neni, le monde est tel que l’on le rêve. Nos civilisations post normal ont simplement à mon sens tuées le rêve. Il est remplacé par l’inutile concept de l’avoir, laisse en jachère l’Être, et pousse vers toujours plus.
Plus de quoi et pourquoi ??? Nul ne sait vraiment, mais au bout de la route il n’y a que néant......
Ce battre, pour qui ? pour quoi ? pour croire être vivant ? C’est peut être ici que le bas blesse, il n’est peut être plus temps de ce battre, il est plus que temps de simplement vivre ici et maintenant, loin des illusions et des chimères.....
Il est, à n’en pas douter un monde au delà nos visions restreintes, monde qui régi la tendance de nos illusions quotidiennes. Syndrome de Peter Pan diront les biens pensants....
En tous les cas de figure lorsqu’un individu va mal dans un groupe, ce n’est pas l’individu qui est malade, mais le groupe entier.......
Il est peut être temps de cesser de toujours renvoyer « le sensible » à son passé, à son histoire, à son malheur et accepter enfin qu’il n’est que le signe, le signal d’alarme, d’un grave et terrible dysfonctionnement dans les chemins sociétaux que nous empruntons tous....
Wake up !!