Salut Bernard,
S’il n’en reste qu’un, je serai celui-là.

Alors analysons, vos dires et découvertes.
« avec le recul, il valait mieux que ces événements se produisent »
Bizarre, je dirais, d’avoir cette pensée-là.
« L’invention se paye. »
Elle se vend, aussi. C’est à dire qu’il faut être un bon vendeur en même temps.
Cela s’appelle créer le besoin chez l’autre qu’il ne trouvera pas aussi facilement. Cela s’appelle avoir une illumination et la chance de l’avoir.
Quand on est rebelle, comme je sens que vous l’êtes, il faut assurer ses arrières et avoir quelque chose que les autres n’ont pas.
Qu’est-ce qui est juste ? Rien. Notion sans valeur sinon en justice, mais qui prend une autre dimension en économie. La valeur ajoutée qui a aussi une taxe.
Il y a cette valeur que les autres trouvent en vous à la suite d’un acte dont ils se souviennent au moment opportun.
Que préconiser ? Rester curieux de tout. Prêt à bondir à toutes les alternatives imaginables et opportunités, cela ne veut pas dire, du tout, être carriériste.
Le matériel ne remplacerait jamais la pensée des hommes.
« Le funambule est sur la scène, après avoir été poussé dans le vide. Le funambule n’est pas heureux, il n’aime pas perdre lorsque la partie est truquée. Le funambule rêve de remonter sur un fil et de poursuivre sa trajectoire dont il fixe à ce moment le point d’arrivée de manière approximative,... »
Bien décrit ;. Espérons qu’il garde la barre parallèle au sol.