Commentaire de Christian Labrune
sur Le « syndrome de glissement »…
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« Personne n’est libre, et croyez le ou non, et, ici,le suicide peut être assimilé à une revendication ultime de liberté...toute valeur morale mise de côté bien sûr »
@hervus
Il n’empêche que, lorsqu’un « suicidé » est encore un peu vivant, les pompiers ne tiennent pas compte de la « liberté » qu’il a prise d’en finir. Ils l’emmènent, en faisant retentir la sirène, vers le plus proche centre de réanimation.
Imaginons que vous voyiez par la fenêtre votre voisin en train de se pendre. Il est tout seul, vous le voyez faire, vous enfoncez sa porte, vous voyez immédiatement le petit mot qu’il a laissé sur sa table : « j’ai décidé d’en finir, etc. ». Il bouge encore un peu. Que faites-vous ? Vous vous suspendez à ses pieds pour l’achever en augmentant la strangulation ou bien vous coupez la corde ?
Derniers commentaires
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25/08 16:54 - foufouille
il y a des ateliers mémoire, gym..etc ca sert pas a grand chose si on fait rien entre temps (...)
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25/08 11:30 - hervus
à foufouille arrêtez, « le cerveau s’entretient comme un muscle. »...Celà a des limites (...)
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25/08 11:22 - hervus
à rosemar « des unités plus petites »....les investissements et les couts tertiaires eux, sont (...)
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25/08 11:13 - foufouille
"troisième hypothèque : vous pensez que ce sont les maisons de retraite qui mettent les gens (...)
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25/08 11:09 - foufouille
"Il doit y faire plutôt bon vivre, dans un environnement convivial et avec des activités (...)
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25/08 10:39 - hervus
la concentration est rendue inévitable par l’accroisssement exponentiel des traitements (...)
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