"groupe de personnes qui font pression sur un gouvernement et tentent
d’influencer sa politique. Telle est la définition la plus courante du
mot.«
Mais, Giuseppe, vous oubliez dans la définition le fait que pour que cette pression puisse être qualifiée de »lobby« , il faut aussi que les interets en jeu (privés ou minoritaires) aillent à l’encontre de l’interêt public ou général. C’est surtout en cela que le supposé »lobby gay« n’existe pas plus que le »lobby noir« qui se battait pour ses droits, ou que le »lobby féminin« , ni que le »lobby des gauchers« .
Certains continuent de considérer que les homos se battent pour »obtenir des avantages catégoriels« , alors qu’ils ne se battent que pour l’égalité des droits, et encore moins pour »imposer« quoique ce soit aux autres (sauf si l’on considère que les noirs qui voulaient aussi être à l’avant du bus »imposaient« leur vision du monde et leurs extravagantes exigences aux blancs, allant scandaleusement contre »l’ordre naturel et social des choses« . Et même pour ceux qui considereraient encore qu’ils ne s’agirait pas de »droits« , personne n’a encore réussi à nous expliquer/convaincre que ces »avantages catégoriels« allaient effectivement à l’encontre de l’intérêt de la majorité homosexuelle (malgré les mantras non explicités de »destruction des valeurs piliers de la société"....).