« Dans la société capitaliste, seuls les patrons, actionnaires ont al propriété privé des moyens de production, donc ce al ne concerne pas tout le monde, mais bien un noyau de privilégiés. » >> Rien à voir, la beauté est un privilège par exemple, puisque même à travers l’effort, on ne peut pas l’acquérir si on ne l’a pas. La propriété est ouverte à tout le monde, c’est donc incomparable.
« Donc je te renvoie au programme de la commune de paris que j’avais mis récemment qui résume bien la pensée socialiste sur divers sujets. » >> Oui, une pensée anti-humaniste de soumission de l’individu et de relativisation de ses droits. La route de la servitude.
« Tes amalgames, ça ne marche pas avec moi. » >> Visiblement, tu ne sais pas lire.
« Si le libéralisme correspond à un certain type de pouvoir politique et économique » >> Tu n’a toujours rien compris au libéralisme, qui n’est pas un exercice du pouvoir, ni un économisme.
« Si un grand propriétaire t’interdit de sortir de chez toi parce que tout ce qu’il y a autour de chez toi lui appartient, est ce que ta liberté est assurée, ou seulement le privilège de propriétaire de ton voisin ? » >> C’est un problème réglé depuis longtemps, si la propriété privée du foncier peut concevoir certaines limites (jamais atteintes en pratique), ces limites ne concernent absolument pas la propriété immatérielle : entreprises, marques, contrats, etc.
4) Enfantillage de celui qui fait exprès de ne pas comprendre. Une entreprise est une propriété privée, que ça vous plaise ou non, puisqu’elle a été créée comme ceci. Je ne me fatiguerai pas plus à vous le répéter si vous êtes incapable de le comprendre.
« ce que ne garanti pas du tout le capitalisme, puisque seul l’intérêt des propriétaire est assuré » >> Les droits n’étant que des libertés de faire quelque chose, la capitalisme libéral est comptabile. Le capitalisme d’Etat actuel, c’est une forme light de socialisme.
« ce que tu défends c’est un système où une minorité impose sont point de vu à la majorité de l’entreprise. » >> Le board d’une entreprise fonctionne de manière démocratique, hors sujet à nouveau. Ce n’est pas parce que j’embauche une femme de ménage qu’elle a son mot à dire sur la gestion de mon appartement. Je suis chez moi, pas elle. Une entreprise c’est pareil, seuls les propriétaires de celle ci ont leur mot à dire sur sa gestion, parce qu’elle a été créée ainsi. Si vous n’êtes pas content de ce système, créez cotre coopérative, c’est pas interdit.
« Donc considérer que que la liberté des propriétaires économiques, n’a pas de limite parce que c’est comme leur chambre, tu nies donc la liberté des autres. Tu es donc contre la liberté. » >> Ridicule, relisez plus haut.
« et nier les droits et libertés des travailleurs. » >> Ils ont les mêmes droits que les autres. Et non, profiter de la propriété des autres ce n’est pas un droit. Ce n’est possible que par contrat volontaire.
A aucun moment tu ne t’intéresses aux droits et libertés réelles de ceux qui ne possèdent pas la propriété privée des moyens de production.« >> La liberté »réelle« , ça n’existe pas. Il n’y a qu’une et une seule forme de liberté : l’absence de coercition dans le respect de la propriété d’autrui. Le reste n’est que poncif marxiste complètement déconnecté de la réalité et d’ailleurs invalidé depuis des lustres. La propriété est accessible à tous, il suffit de produire de la valeur en échange. Et des pauvres qui s’enrichissent, il y en a des millions tous les jours, ne vous en déplaisent. Votre critique à la germinal est donc non seulement philosophiquement ridicule, mais surtout niée par les faits.
»vas donc vivre comme les prolétaires au début du 19ème siècle" >> Germinal, qu’est ce que je disais.
Bref, toujours les mêmes poncifs, ne nous fatiguons pas, vous n’avez visiblement pas les capacités intellectuelles de sortir de vos dogmes marxistes.