Au début des manifestations le régime a à la fois réprimé et a en même temps passé des mesures sociales pour apaiser les manifestants (baisse de taxes sur les produits alimentaires de première nécessité,
l’augmentation des subventions pour le fioul et la création d’un fonds
social qui aidera 420 000 personnes en difficultés).
Il a donc fait en sorte de rester au pouvoir c’est évident. Mais est ce qu’un pouvoir exécutif doit se soumettre à la moindre excitation populaire ? N’est ce pas la voie vers une déstabilisation permanente du pays ?
Pendant ce temps des groupes salafistes se sont formés et ont commencer à user de violences à la fois sur les forces de l’ordre et à la fois sur les manifestants. Ensuite L’ASL s’est organisé, aidé par des pays comme le Quatar et l’Arabie Saoudite qui obéissent aux Etats Unis (Inutile de revenir sur les deux poids deux mesures occidentaux face aux Barhein, yémen, Arabie Saoudite...). A noter également que les minorités religieuses (notamment chrétienne) sont protégées sous Bachar, ce qui ne sera certainement pas le cas si les « rebelles » gagnent.
Face aux violences de l’ASL ainsi qu’a son caractère étrangers à la Syrie, le peuple s’est petit à petit détourné de cette organisme militaire pour revenir sous le girond de l’Etat. Ainsi les victoires militaire du régime sont parfois dû aux habitants qui renseigne sur place les force de l’ordre sur les agissement et la localisation de l’ASL. C’est là le paradoxe, l’ASL qui se voulait le rassemblement de la rebellion a en fait créer une solidarité populaire autour du régime. Le printemps syrien a donc bien été volé par l’ASL et non par le régime.
Au sujet de ce fameux printemps arabe qui a vu finalement les frères musulmans remplacer les dictateurs ben ali et moubarak, le président égyptien morsi à dévoilé ses cartes au sommet des non alignés à Téhéran en disant souhaiter le départ du régime syrien jugé oppressif. Les frères musulmans tombent ils le masque ? Sont ils le nouveau bras armé américains sous couverture démocratique ?
Bref il est évident que pour l’avenir du peuple syrien le régime baasiste doit être sauvegardé et les terroristes définitivement matés. Il faudra espérer alors que la Syrie sortira grandi de cette épreuve et qu’une justice sociale ou tout autres aspirations populaires pourront se développer pacifiquement.