Salut,
Encore une bel et bon billet. Qui résume bien ce qui se passe de la frontière italienne jusqu’à Marseille.
L’exemple qui me restera gravé à vie c’est la pourriture qu’était Jacques Medecin, je crois qu’il a trempé dans à peu près tout ce qui rapporte. Des putes aux casinos, de marché truqués en pots-de-vinasse y a pas un truc auquel il n’est pas gouté.
Moralité durant une vie de caïd local ... rien ou si peu. Une condamnation pour la forme après une escapade à Punta del Este.
Et puis il y a le gus de la rue, celui qui taffe qui ne demande rien à personne (sauf mon adoré frangin) j’ai beau m’y employer mais jamais, jamais, jamais en travaillant légalement (ce qui est le cas) même 24h00 par jour je n’arriverais à assurer désormais un semblant de vie correcte à ma descendance.
Cela me met en rage ces sous-merdes des banlieues aux volants de BMW flambantes neuves, rap à fond et 18 ans à peine révolus, cela me fait mal l’escroc en Ferrari qui n’a rien d’un génie, sauf celui d’avoir bien volé ses prochains, cela me fait marner ses édiles locales confortablement installées, le sermon aux lèvres et qui en croquent à s’en faire péter la sous ventrière...
Y a des fois ou je me dis qu’une arme dans les mains il ne faudra jamais me la donner... je m’en servirai volontiers !