Entièrement d’accord avec King sur l’essentiel, à savoir lâchez moi le dispositif d’amarrage et occupez-vous de vos f… nièces (je n’insulte personne hein, je mets le ton qu’il faut c’est tout
).
Cela dit et puisque vous tenez à ce que « débat » il y ait sur ce qui ne vous regarde pas, vous avez le droit de savoir que :
Un musulman (je ne parle pas de mes cousins, qui sont assez grands pour le faire tous seuls), quel que soit son degré d’attachement ou pas à sa foi, en Europe, en Australie ou ailleurs fera N’IMPORTE COMMENT mais alors n’importe comment, circoncire son garçon (le plus souvent sous la pression des femmes de la famille figurez-vous, laissez tomber vous ne comprendriez-pas), alors admettons qu’il y ait interdiction par force de loi en France par exemple, de deux choses l’une :
- Ou il peut se payer un voyage et un séjour dans un pays musulman pour le faire faire proprement, par un chirurgien expérimenté et dans des conditions médicales et d’hygiène optimales
-Ou il ne peut pas voyager et ce sera la clandestinité, les marabouts, les charlatans, les mémés en châle et en tous genres qui « officieront » dans des caves sordides et dans les conditions d’hygiène qui vont avec et avec en sus, le couteau sur la gorge de la menace de délation par le voisin superdupont le plus proche et donc d’apparition à tout moment de la glorieuse force publique à la chasse des réseaux de revente de prépuces aux collectionneurs fétichistes ou aux usines de canigou.
Ça ne vous dit toujours riens normal oui je sais
Et quid si je vous disais que même pratiquée par des médecins en milieu hospitalier et quand bien même mes accidents seraient rarissimes, cette opération n’est pas sans risques loin s’en faut, de véritables drames se sont produits mais qui jamais à aucun moment n’ont fait revenir les musulmans sur ce ri-tu-el http://www.kabyles.com/affaire-des-circoncis-d-el-khroub,4766.html
Alors qu’est-ce qu’on fait dans ce cas et êtes-vous assez naïf ou prétentieux c’est selon, pour croire qu’un parent musulman laissera entre vos mains, le choix de décider en faveur d’une augmentation du risque pour son fils 