L’imposition découle de la solidarité nationale.
Et dans « solidarité nationale » on entend « nation », mot qui lui-même renvoie à l’idée de nationalisme, de patriotisme.
Bref un vocabulaire que la gauche a du mal à promouvoir, encore plus à pratiquer (à part par Chevènement mais on ne peut pas dire qu’il soit très suivi).
Pour renforcer l’idée de solidarité nationale, il faudrait défendre des positions un peu plus nationalistes. Il faudrait rejeter le communautarisme à la mode actuellement.
Il faudrait rappeler que l’identité nationale tant décriée à gauche, c’est ce qui rassemble quand tous les autres marqueurs identitaires (ethniques ou religieux) divisent.
Pourquoi les Français devraient
continuer à financer une solidarité nationale au profit d’une
population qui rejette ostensiblement l’identité française, que se
soit par leur accoutrement, lors de leurs mariages, dans les stades
de foot, ou en brûlant les symboles de la République ?
Comment demander à un riche de
payer 75% d’impôts au nom du patriotisme s’il ne peut identifier les
bénéficiaires comme étant de vrais Français ? Juste des
Français « de papier », qui ne se distinguent d’un
Algérien que par ce qui est marqué sur ses papiers d’identité ?
Il aurait fallu que nos politiciens démagogues ne laissent pas la situation sociale se détériorer sans rien faire. Qu’ils défendent le principe du « creuset français », qui s’est montré si efficace pendant un siècle d’immigration pour fabriquer de nouveaux Français, de culture française.
Qu’ils restent intransigeants sur les principes qui sont les fondements de notre République, pour que notre pays dispose d’une cohésion nationale (encore un gros mot) sans faille.
Car pour accepter de payer 75% d’impôt il faut avoir le nationalisme chevillé au corps.