J’aurais dû, pendant que j’y étais, citer aussi la fin de l’article de wikipedia, qui rappelle assez bien quelques uns des propos négationnistes d’Ahmadinejad.
Citation de Wikipedia :
Après la publication des caricatures de Mahomet dans le journal Jyllands-Posten en décembre 2005, il dénonce le « mythe du massacre des Juifs » et propose de créer un État juif en Europe, aux États-Unis, au Canada ou encore en Alaska, lors d’un discours retransmis en direct par la télévision d’État iranienne[réf. nécessaire]. Il doute de la Shoah, qualifie Israël de « tumeur », et demande à l’Allemagne et à l’Autriche de céder une partie de leur territoire pour établir Israël, impliquant un transfert massif de la population juive israélienne sur un autre territoire que celui de l’État d’Israël[49] en référence à la création de l’État d’Israël qui s’est implanté sur un territoire déjà habité par les Palestiniens.
Le 12 décembre 2006, lors d’une conférence sur l’holocauste organisée à Téhéran en présence des négationnistes Robert Faurisson et Roger Garaudy (condamnés par la justice française)[50], ou encore Serge Thion, révoqué du CNRS pour avoir « remis en cause l’existence de crimes contre l’humanité », Ahmadinejad essaie de justifier ses propos d’octobre 2005, qui avaient lancé une polémique quand il avait déclaré que le régime au pouvoir en Israël allait disparaître[51].
Le 20 avril 2009, le président iranien s’exprimant à la conférence de Durban II, accuse le Conseil de sécurité d’avoir « donné le feu vert aux sionistes pour poursuivre leurs crimes »[52]. Il ajoute que les dirigeants d’Israël sont « les plus cruels et les racistes les plus répressifs » et condamne des « grandes puissances » pour avoir aidé à la création d’Israël « au prétexte de la souffrance juive » après la Shoah. Son discours provoque un tollé, et la plupart des représentants des pays de l’Union européenne quittent alors la conférence. Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon condamne les propos du président Ahmadinejad, déclarant qu’il avait incité à la haine, l’objectif inverse de la conférence. La France, la Norvège, les États-Unis et Israël ont également condamné ses propos[53].