Pour commenter ce débat :
Il me semble que les retours d’expériences des centres pour toxico nous montrent qu’une majorité des cas extrêmes sont liés aux conditions environnementales (enfance difficiles et même au stress prénatal), mais n’en sont pas l’unique facteur déterminant (mais déjà prédominant).
Je m’appuie sur les interventions du Dr. Gabor Maté concernant les addictions et bien d’autres...
On peut aussi en conclure que le seul coté législatif des drogues n’est en aucun cas l’unique problème ou même l’unique solution au(x) problème(s). Il faudrait élargir les possibilités en direction des conditions environnementales qui ont entrainé cette autodestruction de l’individu (ou abus nocif de psychotropes).
Légal ou pas, reste un autre facteur, mais il exige une remise en cause de la société.
Tout comme les problèmes de délinquance (et autre), cette remise en cause n’est pas au programme de nos maitres.
Bref, il semblerai que les drogues ne soit qu’une conséquence de problèmes plus profond qu’une simple législation les concernant.
Ne serait il pas plus judicieux de s’attaquer aux problèmes de l’individu pour résoudre les problèmes de drogues plutôt que l’inverse ?
je link ceci que j’ai trouvé en faisant mon com’, à voir l’article et les articles correspondants :
http://savoir.fr/les-toxicomanes-ont-connu-une-enfance-difficile