Vous avez raison, il vaut bien mieux financer :
- 40 % des effectifs du primaire supposés « dyslexiques » ou dys-n’importe quoi, qui vont engraisser la nouvelle profession à la mode : orthophoniste, ou les « sévices sociaux » qui servent de béquille à une école-leurre, au lieu d’aider les enfants réellement handicapés, qui, eux, ne trouvent plus de place nulle part,
- une « école » primaire d’où 40 % des élèves arrivent au collège sans savoir lire, écrire et compter correctement ,
et les services sociaux, psychologues, éducateurs spécialisés, prisons, et le Pôle Emploi longue durée qu’il faut bien prévoir pour ces pauvres gosses, dont personne ne se préoccupe, sauf quand ils deviennent « violents », à force d’avoir subi cette immense violence de l’école publique d’aujourd’hui : se traîner de classe en classe tout le primaire, voire au collège, sans même parvenir à acquérir les bases des bases, envoyés dans leur vie d’adulte totalement démunis et « exclus » de la société avant même d’avoir tenté d’y entrer !
L’école publique, aujourd’hui, est devenue une fabrique de handicaps.
L’école publique d’aujourd’hui est une honte, dont l’Education nationale devrait rendre compte en justice !
Une maman d’un des 40 %, qui tente désespérément de sauver son gosse de la noyade, vous savez comment ? Eh bien, en payant à prix d’or une école privée hors contrat, quand je paie mes impôts pour l’école publique qui ne songe qu’à l’avenir de ses enseignants, mais se fout de celui de nos enfants.