Commentaire de Morpheus
sur La Face de Dieu
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Vous avez sans doute raison. En fait, j’ai résumé - en la déformant - le fil de ma démarche. Au départ, à sept ans, premier « vertige » conceptuel (et existentiel) : la notion d’infini (et d’univers infini).
Il y a un lien avec la notion de « sans limite », dans la mesure où cela est parfois traduit par « infini » (et peut-être s’agit-il alors d’une mauvaise traduction ?).
Mais oui, c’est vrai, « sans limite » exprime bien mieux cette notion que « infini ». La seule chose, c’est que le dictionnaire est assez clair au sujet de « infini », il s’agit bien d’une chose qui n’a pas de fin ET qui n’est pas finie (in-fini = sans fin et/ou non finit).
Merci pour cette intervention éclairante 
Derniers commentaires
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01/10 11:34 - Hermes
@Gollum et Patricia, Bonjour à vous... Et si ce « dieu interne » nait en nous même, quand (...)
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24/09 09:47 - chmoll
c incroyable quand même ! arriver à écrire des tonnes de « bouquins » sur un bidule qui (...)
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24/09 01:21 - Patricia
@ Gollum Penser un Dieu « extérieur » c’est concevoir un Dieu qui agit, qui puni, qui (...)
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24/09 01:11 - Patricia
@ Neymare Votre commentaire tellement vrai et dit avec tant de simplicité ! Beaucoup de (...)
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23/09 18:24 - jjwaDal
Je suis un chercheur de vérités, ce qui conduit vite à rejeter les religions pour ce (...)
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23/09 16:15 - gaijin
écometa Pascal, qui, bien avant l’heure, était un tenant de la pensée (...)
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