@ teddy-bear
A propos de l’islam
vous écrivez :
»cette religion
comme toutes les autres, monothéistes, est à la fois obscurantiste rétrograde
et porteuse de troubles et de conflits. Mais c’est un autre sujet de
polémique"
Ce n’est pas, selon
moi, « un autre sujet de polémique ». Il est devenu évident que le plus
grave, dans le rôle joué aujourd’hui par les religions c’est leur confirmation
que Dieu a bien commandé non seulement « des troubles et conflits » mais des
crimes, des meurtres, des massacres, des génocides.
Et il est évident
aussi que l’islam est de très loin la religion la plus dangereuse puisque c’est elle qui, confirmant la validité
éternelle des préceptes énoncés par son prophète Mohamed et par les rédacteurs
du Coran…
enseigne encore
aujourd’hui que Dieu continue d’appeler à la « bonne » violence, celle qui vise à amener le monde entier à se
soumettre « au seul vrai Dieu », son Dieu Allah.
Voir ici :
http://blog.sami-aldeeb.com/2011/09/18/benoit-xvi-premier-responsable-de-la-violence-religieuse/
ou
ici :
http://www.centpapiers.com/benoit-xvi-premier-responsable-de-la-violence-religieuse-1/38279
Extrait :
»" Tous les
monothéismes continuent d’affirmer que Dieu a bien, en plus de ses appels à la
paix, commandé des « exactions », des maltraitances, des violences, des
guerres, des massacres de peuples entiers, ou de catégories entières de la
population de la planète.
Le judaïsme, le
christianisme et l’islam, dans toutes leurs composantes, l’affirment
explicitement. Le quatrième monothéisme, le bahaïsme – ou, comme préfèrent le
nommer ses adeptes, la « Foi bahaïe » – adhère à la même conception duale que
ses prédécesseurs mais, en quelque sorte, « par défaut ». Il ne rejette pas
explicitement son volet criminogène, il se contente de ne pas l’enseigner comme
une vérité définitivement acquise ayant, dans les faits, la valeur d’un vrai
dogme.
Les autres religions
du Livre le font et, donc, les « exactions », les violences et « les divisions
entre les peuples » pratiquées au nom de la religion ne sont pas du tout des «
déviations ». Il faut dire ici bien fort que les croyants fanatiques passant à
l’acte criminel effectif « ont bon dos », et que les institutions de leurs
religions respectives devraient, dans une société où la Justice profane serait
réellement indépendante et objective, assumer au moins partiellement la
responsabilité de leur crime. « »