Milu :
Votre connotation n’est pas la mienne. Je ne traite pas de salope en parlant d’envie de se reproduire. Je souris, et puis c’est provoc pour provoc. Elles n’ont pas le monopole de la provoc ni de la vérité. Débiles ? Provoc, encore, mais fondée : ont-elles produit une analyse de la société sur laquelle ont puisse débattre ? Aucune. Pas de débat avec elles. L’agit-prop sert à imposer un pattern sans qu’il soit simplement possible de l’analyser. L’atout est évidement leurs seins nus, et cela plait et attire. Basique, animal, femellien (sans dénigrement : sans envie de se reproduire les humains ne seraient pas là).
Des femmes défilent seins nus, même pour scier une croix catholique (pas orthodoxe...), et les hommes seraient des violents qui ne pensent que par leur cul. Non, pas prenable. Le sexisme misandre est réel. Il s’étale avec le confort de ses propres certitudes indémontables, et la victimisation permanente comme bouclier et justification absolue.
Oui l’image symbolique clairement la guerre aux hommes, au masculin. Et ce n’est qu’un avatar de plus. Cette guerre n’est pas médiatisée. Les stéréotypes féministes sur les hommes restent la doxa.
Je ne vais certainement pas me battre aux côtés de féministes qui ont une serpe - même symbolique - à la main, ou le dénigrement du mâle comme point d’appui de leurs théories. Que les féministes abandonnent leurs dogmes misandres, après on rediscutera.
La liste ci-dessus à laquelle j’ai répondu montre bien qu’une féministe ne travaille que pour son propre « camp ».