On remarquera que l’auteur, comme tous les défenseurs du communisme, parle à son sujet exactement la même chose que les croyants parlent de leur religion : des crimes ont été commis au nom de ma religion (ou de mon communisme) mais ce n’était pas la vraie religion.
Comme si les néo-nazis nous disaient que le nazisme est une idéologie de progrès, de paix et de tolérance malheureusement pervertie par des intégristes car, comme Staline et Mao n’étaient pas de vrais communistes, Hitler n’était pas un vrai nazi.
Cette manière de défendre les idéologies les plus meurtrières est proprement irresponsable et néfaste à l’humanité, et la bienveillance avec laquelle le communisme est aujourd’hui regardé par les adeptes forcenés du politiquement correct simplement écoeurante.
On ne s’étonnera dès lors nullement de voir les néo-communistes s’allier avec les islamistes les plus rétrogrades : ils ont en effet en commun le désir de dictature mondiale comme l’agression permanente envers quiconque oserait discuter le bien-fondé d’une idéologie coupable des crimes les plus abominables, comme de la mise à mal de tous les pays dans laquelle elle s’est installée.