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Commentaire de Constant danslayreur

sur Quand la victime devient coupable...


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Constant danslayreur 3 octobre 2012 12:03

Loatse je vous cite :

« en france, une femme battue (ou violentée) ne fait pas l’objet d’un acte d’accusation... »

Raté, elle n’a pas fait l’objet d’un acte d’accusation parce qu’elle a été violée ou violentée mais parce qu’elle avait eu des relations sexuelles sur la « voie publique », c’est encore la loi par ici, libre à vous de légaliser les exhibitions que vous voulez, souffrez que d’autres ne soient pas à ce point « évolués ».

« deuxio, ce n’est pas parcequ’une femme est tunisienne ou esquimaude que notre compassion doit s’arrêter aux frontières... »

Jamais rien demandé de pareil, je m’adressais à un donneur de leçon soulignant que pour pouvoir se poser en tant que tel, il valait mieux déjà avoir réglé le souci de sa poutre à lui

« Tertio... le mari violent ne peut en aucun cas évoquer les préceptes de sa religion pour se dédouaner de ses actes...

soit, je cite :

 »quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les ! «  »

Et exégète en plus, bravo toutes les qualités. En effet, tout de même étonnant que cette synthèse parfaite que vous donnez ait échappé non seulement à ces gourdes de musulmanes (oups pardon oui le conditionnement), mais aussi à tous les gourds de musulmans qui les aiment mais quels cons...

En attendant je prends à mon compte et l’esprit et la lettre du coran à la virgule près (c’est une image je sais qu’il n’en comporte pas), faites avec ou faites sans mais si possible vos leçons à deux balles, gardez les pour vous merci.
 

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