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Commentaire de médy...

sur La littérature grecque : les origines...


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médy... médy... 5 octobre 2012 12:56

Sans les Sumériens et par conséquent l’écriture, pas de Grec.

Cette affirmation est aussi ridicule que celle d’un Big Bang culturel Grec. Demandez aussi aux francs-maçons ce que sont les écoles des mystères en Egypte. La même chose peut être découverte à deux endroits différents ou plus sans qu’il y ait contact entre les peuples qui y vivent. Parfois il y a eu transmission évidente, surtout pour les peuples de la méditérranée. Les Grecs sont juste un chaînon dans la plupart des savoirs dont vous supposez qu’ils soient les auteurs. Rien ne se crée de rien.

"Toute notre culture est née en Grèce : c’est là qu’est notre berceau, c’est là que sont nos origines, c’est de là que viennent nombre d’idées, nombre d’exemples...« 

J’apprécie énormément les Grecs mais cette affirmation est aussi fausse, ce serait ignorer simplement tous les peuples Nordiques et continentaux qui ont afflué dans toute l’Europe, et rejoindre ainsi le mythe de la race aryenne. Remplacer le mot »Grèce« par »Nature" et là je serai un peu plus d’accord avec le reste smiley

La phusis (φύσις, « nature ») était chez les Grecs d’Asie Mineure la base de la réflexion philosophique. Ils observaient le cosmos, les cycles de la nature et des saisons pour aboutir à une intelligibilité et à une rationalité, avec une volonté de nuancer le discours mythologique. La phusis est en quelque sorte la nature, le milieu environnant. Elle s’oppose ainsi au nomos, la loi. Mais elle représente aussi un processus de croissance qui est un accomplissement de l’être. C’est « la poussée d’une chose hors de la matière sous la pression d’une force intérieure et l’attraction de la lumière ».

Je pense que si on interrogeait les savants Grecs antiques aujourd’hui, ils seraient horrifiés de ce combat pour être « le premier qui a fait ci, ou ça » qui recèle des valeurs bien peu nobles, ou scientifiques.


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