Bonjour JL, je vous attends !
j’ai bien écrit « pour contradictoire qu’il puisse paraître », ceci car je ne souhaitait pas développer. J’avais juste dit que « la mondialisation est leur pire ennemi en ceci qu’elle fédère les nations ».
Ensuite je pense avoir bien clarifié ma pensée pour lever le paradoxe.
Concernant Karash, au delà du discours d’une personne je regarde son intention. Car on peut se tromper sur la réalité tout en étant sincère dans son intention. Or, la vérité c’est l’intention de l’être.
Petite précision sur votre phrase "mon point de vue est que l’on ne peut pas si facilement transposer les
niveaux et les genres, et en tirer des arguments pour justifier ou
invalider telle ou telle politique.«
Bien évidemment, c’est toujours dangereux.
Disons que si vous avez lu mes autres articles vous aurez une idée plus précise et plus juste de ma façon de voir. Les »niveaux" ne sont pas une hiérarchisation de la conscience mais une différenciation entre la conscience intérieure et la conscience extérieure. La hiérarchisation de la conscience est sa division en dimension. Celle ci permet de considérer que même un atome est animé par la conscience. Or, pourrions nous exister sans atomes ? Bref, cette hiérarchisation ne se fait pas au détriment de l’une sur l’autre mais sur leur interdépendance et complémentarité.
Plus qu’une crise économique, l’humanité traverse une crise de conscience. Le paradoxe ou contradiction tient de cette crise qui oppose dimension de conscience intérieure et extérieure.
Si nous voulons élever notre conscience au delà de notre planète, il faut au préalable poser comme socle que celle ci est notre espace originel, fondateur et donc notre espace intérieur. En d’autres termes, la Terre cesse d’être notre espace extérieur (relativement à la nation) pour devenir notre espace intérieur. Les nations restant fondamentalement dans cet espace intérieur puisque le composant, mais reculent d’un palier (relativement à notre conscience), de la même façon qu’une région est intégré dans une nation.