Hollande capitaine de guerre à défaut d’être sauveur de l’économie française !Depuis l’avènement en France de la Cinquième République,...
... jamais président nouvellement élu n’a vu sa cote de popularité
s’effondrer aussi rapidement et brutalement comme c’est le cas pour
François Hollande, l’actuel chef de l’Etat. Cinq mois à peine après son
élection, l’occupant de l’Elysée est au plus bas dans les sondages.
Et
la chute semble devoir se poursuivre tant ses actes de gouvernance et
ceux de son gouvernement à l’effet de s’attaquer aux racines de la crise
financière et économique qui sévit en France n’ont pas répondu aux
attentes des électeurs qui l’ont élu sur la base de son programme
électoral dont ces actes trahissent les promesses. Chute dans les
sondages, mais aussi montée en puissance de la contestation sociale qui
sape l’assise populaire du pouvoir socialiste.
Face à cette
situation, Hollande et son gouvernement n’ont pas de marge de manœuvre,
tenus qu’ils sont par les engagements de rigueur et d’austérité que leur
impose le traité budgétaire européen qu’ils n’ont pu renégocier,
contrairement à la promesse électorale faite par le candidat Hollande,
et l’état sinistré des perspectives économiques de la France. N’étant
pas en mesure de satisfaire les demandes sociales dont il a pourtant
défendu la légitimité durant sa campagne électorale, François Hollande a
opté à l’évidence pour une politique activiste à l’international sur
les dossiers à haute tension que sont la crise en Syrie, celle du Sahel
et du programme nucléaire iranien, avec pour calcul que la position en
pointe et franchement belliciste de la France sur chacune d’elles
incitera les Français à se rassembler derrière lui et son gouvernement
et relèvera leur cote de popularité en berne.
Sauf que, ce faisant,
François Hollande est en train d’administrer la preuve que la France a
beau vouloir prétendre jouer à la grande puissance dont les initiatives
pèsent sur les rapports de forces internationaux, la réalité de son
poids est surestimée. Ce qui la contraint à s’en remettre aux Etats-Unis
pour les décisions à prendre et à solliciter leur concours militaire en
logistique à tout engagement français.
Tout comme son
prédécesseur Nicolas Sarkozy, François Hollande cherche à se tailler une
stature internationale pour compenser l’impuissance qui est la sienne
face à l’impitoyable problématique économique et sociale à laquelle il
se heurte en France. Ambition dont celui qui en est guidé n’a aucun
scrupule à œuvrer pour créer les conditions à une « bonne petite guerre »
qui lui offrirait l’occasion de montrer ses capacités de « chef » aux
décisions fermes quand se lève la tempête.
Profil qui est loin de celui
de François Hollande dont les indécisions et les cafouillages sont
devenus le principal sujet des railleries dont le brocarde l’opinion
publique française.
En résumé, Hollande abandonne la souveraineté économique et monétaire de la France (Traité sur la Stabilité, la Coordination et la Gouvernance (TSCG)) qui est une infamie puisque la politique économique et monétaire
de la France sera faite désormais par un quarteron de serviteurs des
banques au niveau européen.
Cette perte de souveraineté
ajouté a tous les autres sur le plans militaires ( la France valet de
l’OTAN), culturels ( budget en chute libre), scientifiques (prédominance
du privé par rapport au public), ... place les français dans la dépendance,
nous sommes des SDF entre les mains de politicards sans scrupules. En
effet, Hollande n’est un petit bureaucrate roublard qui n’a aucune
ambition, sauf celle de servir le capitalisme et ses banques de rapaces.
Hollande est le clone de Sarko, lui aussi fourni une aide aux mercenaires qui attaques la Syrie, il devra affronter la colère des français quand ils découvriront notamment a supercherie du traité budgétaire européen et ses turpitudes.