Je découvre Agora Vox et n’en connais pas toutes les philosophies.
Cela viendra ! Pour ce premier message qui me vaut beaucoup de commentaires,
j’ai pensé écrire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas.
Je salue Agora Vox d’avoir eu l’amabilité de publier cette pensée somme toute
provocatrice à souhait.
Le plus grand parti de France ne s’appelle plus « les chômeurs » mais « LGDC » :
Les Gens sont des Cons« associé au »Politiquement correct".
Autrefois, c’était aussi : "ONPPLD, On Ne Peut Pas Le Dire.
J’avoue qu’il m’arrive de reconnaître que je suis délicieusement « macho ».
J’ai même une pensée écrite à ce sujet :
Macho ? Macho, oui !
Qu’il est bon d’être Macho, l’espace d’un instant.
Macho, Macho, je suis Macho !
Vous aussi, criez-le sur tous les toits, car tout le monde
doit savoir que vous êtes Macho !
Regardez les yeux ronds et les bouches en « cul de poule »
qui vous entourent.
Continuez : oui, oui, je suis Macho !
Ce n’est pas un gros-mot, vous savez.
Le Macho doit tétaniser sa proie en l’hypnotisant afin que
le règne Macho s’accomplisse.
Vous verrez, toutes les femmes vous aimeront.
Au fait, connaissez-vous un Macho sans femmes ?
Voilà donc ma condition d’homme : de penser constamment aux femmes.
Pour me faire pardonner par certains, je dirais que
Sans l’ironie, le monde serait comme une forêt sans oiseaux.
(Anatole France)
Sans confiture, que serait ma tartine de pain/beurre ?
L’un va toujours avec l’autre tout comme Laurel et Hardy.
Mais l’ironie, me direz-vous, est-elle indispensable quand
je dois la subir ? La faire subir pour que le monde redevienne droit ?
L’ironie me permet d’aller plus loin que ma pensée du matin.
Elle enveloppe d’un paquet cadeau l’estocade qui me ronge l’esprit.
Enfin soulagé, je pars vers d’autres découvertes et d’autres mots d’esprit.
Tout avaliser comme une chique serait que ruine dans la conscience de l’âme.
Remerciez-moi donc pour mon ironie suavement distillée.
Elle vous réveillera et vous tiendra debout pour longtemps.
Tenez, j’ai bien envie de recommencer pour voir votre mine furieuse.
Que vous êtes beau, enjambant les crevasses de la colère.
Encore un effort et vous rejoindrez la pivoine.
Vous êtes plaisant à voir et me comblez d’aise.
Ironique, moi ? Si peu, voyez-vous.
Je m’en vais dans la forêt profonde écouter les oiseaux et le merle moqueur.
Viendrez-vous ?