Il existe énormément de manières de gagner sa vie avec les logiciels
libres, une réponse plus complète et plus rigolote en anglais est
disponible ici : 11 open source business models.
Parfaitement exact !
On peut prendre pour modèle OPEN ERP (les ERP sont très à la mode actuellement dans l’entreprise). Une boîte en Belgique fait tout son business autour de la formation des consultants et leur certification (comme autrefois Novell). Les consultants se paient leur formation, parfois plusieurs milliers d’euros et obtiennent le tampon. Par la suite ils ’vendent’ leur compétence auprès des utilisateurs finaux (les PME) à prix d’or souvent. Là, c’est clair on sort complètement du libre, même si le code python de Open ERP reste accessible (pour la plupart des gens cela ne sert à rien) pas plus que le noyau Linux en C.
Je n’ai pas de position de principe quant à ces pratiques, il faut bien que les gens gagnent leur vie, mais enfin nous sommes typiquement dans un cas de figure où le ’libre’ n’est qu’un prétexte.
Seul avantage peut-être le client final peut changer de prestataire pour autant qu’il n’y ai pas d’add-ons propriétaire dans son système, pratique qui n’est pas interdite.
La frontière est parfois difficile à cerner.