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Commentaire de Alinea

sur Devise : es-tu toujours la plus belle ?


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alinea Alinea 17 octobre 2012 14:26

Si vous le voulez bien, je vous livre les petites notes que j’ai écrites en relisant attentivement votre article.
Prenez ma volonté de pousser plus loin votre pensée comme un cadeau mais surtout pas comme une quelconque supériorité de ma part !
Confronter sa pensée à l’intransigeance d’un autre, dont la pensée mérite elle-aussi cet esprit critique d’un autre, me paraît un bon moyen d’avancer. Mais ce n’est pas le cas pour tout le monde : certains ( nombreux) voient les critiques comme une atteinte à leur personnalité.
Ce n’est pas le cas pour moi, vis à vis de vous !
À partir du début de votre histoire :
Ne pas se retourner : voir le Complexe d’Orphée.
Y a-t-il une inanité de toute création ?
Quand Il créait, Il n’avait pas atteint la conscience, même pas celle d’être seul, aussi :
explicitez : « plus Il créait et plus Il s’éveillait à sa propre conscience »
car plus loin :
« À cet instant précis...ses parents ne voulaient pas qu’Il prit conscience de sa vie créatrice... qu’Il s’interrogea »
Cela nous fait penser à Adam et Ève. Le paradis sans conscience. Pour moi c’est un peu le règne animal qui, du coup, est parfait dans sa spécificité.
De la conscience de soi découle l’absence de l’autre : pourquoi ?
« Dieu parcourait tous les recoins de son corps....une création qui fut animée d’une volonté propre... » : L ’Homme ?


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