Commentaire de MUSAVULI
sur Violence « corse » : entre indignation et fatalisme
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Dans le rapport avec la Corse et les Corses, je n’utiliserais pas le verbe « aimer ». Je parlerais peut-être de « se sentir à l’aise » ou « s’inquiéter », selon les moments. Aimer une entité, ça n’a pas vraiment de sens. Parce que dans toute entité, dont la Corse et les Corses, il y a autant de choses « aimables » que « détestables ».
Derniers commentaires
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25/10 11:51 - orsatone
Le problème de la Corse est avant tout un problème de Culture. Ou plutôt d’absence de (...)
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20/10 06:46 - MUSAVULI
Vous ne pouvez pas dire ça, Appoline. Je vous ai connue plus lucide. Quelles que soient les (...)
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19/10 14:05 - kirios
« demandez aux maghrébins qui ont voulu s’y installler... » vous racontez n’importe (...)
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19/10 13:10 - appoline
Attendons les résultats de l’enquête mais l’avocat n’a t il pas lui aussi, (...)
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19/10 12:57 - Laulau
Prendre le maquis, dans ce cas de figure, signifie s’engager dans une lutte clandestine. (...)
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19/10 12:10 - kirios
omerta n’est pas un mot corse . ce que voit la population , la police , la « justice » , (...)
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