Commentaire de Furax
sur Vingt ans après la mort de Thomas Sankara : « on peut tuer un homme mais pas ses idées »
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Je vous rappelle aussi que le Fespaco, le premier Festival Africain du cinéma, date de l’époque de Lamizana. Et que ce n’était pas un festival pour bobos (qui ne sont pas les habitants de Bobo-Dioulasso 
. Les cinés étaient pleins d’enfants des rues dont la seule raison d’être était la séance de cinéma dusoir !
Derniers commentaires
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22/10 08:42 - lionel
SEPH, Ne le prenez pas mal, car dans la logique vous avez raison : Le nord du Mali n’a (...)
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22/10 08:33 - lionel
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21/10 11:32 - Hervé Hum
Bel hommage et amplement mérité au vu de ce que j’ai pu lire sur Thomas Sankara. Merci (...)
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21/10 10:04 - candide
Bonjour, Sankara était un grand bonhomme. De ceux qui dérangent.Il y a un appel de fait pour (...)
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20/10 14:07 - Renaud Delaporte
Aucun Etat ne commet aujourd’hui un crime sans avoir élaboré, dans le processus même de (...)
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20/10 11:21 - tf1Goupie
Reconstruire l’histoire à partir d’un martyr, c’est un peu le principe de la (...)
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