Commentaire de Georges Yang
sur Ne cachez plus ce sexe que je ne saurais voir !
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Je me souviens d’un caliquot peint avec lettres latines et arabes, rescapé descombats à l’arme lourde autour de la Place des canons à Beyrouth
Il ne restait pas un palmier, les maisons étaient en ruine, mais trônait ce caliquotde plusieurs mètres carrés transpercé par les balles, à la gloire du film Emmanuelle
C’était suréaliste , en 1977
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21/10 19:37 - Aldous
Concernant l’influence d’internet sur les jeunes, l’exemple japonais est (...)
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21/10 18:55 - Aldous
Le sexe et l’effroi est dans ma bibliothèque depuis un bon moment. :-)
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21/10 16:50 - cyclo
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