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Commentaire de Renaud Delaporte

sur Vingt ans après la mort de Thomas Sankara : « on peut tuer un homme mais pas ses idées »


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Renaud Delaporte Renaud Delaporte 20 octobre 2012 14:07

Aucun Etat ne commet aujourd’hui un crime sans avoir élaboré, dans le processus même de son exécution, l’accusation qui permet d’en attribuer la responsabilité à ses adversaires.

Tout le monde le sait, mais il est bien plus confortable de réagir en feignant de l’ignorer. Cela en devient grotesque.

Kadhafi n’avait aucun intérêt à liquider un adversaire de l’occident, mais a servi à plusieurs reprises d’homme de main pour obtenir quelques faveurs...
Maintenant qu’il est remplacé par le label Al Qaïda, beaucoup plus souple d’utilisation, on n’a plus eu besoin de lui. Son fantôme, lui, reste très utile.


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