Franchement, ça change quoi cette reconnaissance, Fillon tient quand même des propos pour le coup, d’un bon sens évident qu’il n’a pourtant pas oser offrir à la réflexion lors de son ministère. Les soit-disants crispations de la part de jeunes issus de l’immigration de la génération antérieure, mais aujourd’hui français c’est du pipeau de journalistes « bisounours », qui n’arrêtent plus de vendre de la désinformation sous couvert d’une déontologie d’information, vérifiée, c’est à dire factuellement contrôlée et donc vraie.
Les causes des crispations, langage soft pour éviter là aussi de dire qu’il s’agit d’un refus pur et simple de faire partie de la nation française - je profite pour envoyer ceux et celles qui voudraient d’ores et déjà bondir ou rebondir sur ce terme, consulter derechef, le premier dictionnaire sous la main pour lire ou relire la défintion du mot « nation » par exemple : http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/nation/ - ne relèvent pas de cette mascarade politico historique.
Pour la petite histoire, qui a dit Le 5 novembre 1954, à la tribune de l’Assemblée nationale, alors que les premiers conflits éclatent : « La rébellion algérienne ne peut trouver qu’une forme terminale : la guerre » ?