Bravo, votre article est tellement suspect, en un mot, que vous avez réussi à le décrédibiliser et avec lui le peu de sympathie que l’on pouvait avoir pour le robert Gil. Arrêtez de prendre les lecteurs et vous avec, pour des cons ! Ceux là que vous pointez du doigt, ils vous adressent leur quenelle, c’est plus profond que les inepties que vous écrivez. En bref, y en a marre de vos écrits débiles qui ne dépassent pas la QI d’une taupe, si les Français en sont dans cette situation c’est qu’on leur a fourré l’Europe de force et Ils n’en voulaient pas de cette « chose puante ».
"Vous savez, celui des idiots qui composent votre public... et qui ne
peuvent même plus partir en vacances du tout, ne peuvent parfois plus
jouer au tennis ni à rien, et n’ont pas un bel appartement spatieux à
deux pas de leur boulot, dans les quartiers chics de Paris... les
ploucs."
... et qui votent ! Vous avez raison Clémentine, c’est bien le drame de la France.
Encore une attaque contre Mélenchon, c’est intolérable, pourquoi ne pas vouloir enfin comprendre que le FdG est à la pointe de la pensée politique rénovatrice, pure, démocratique, tolérante, progressiste, illuminatrice, révolutionnaire, cheguevariste moderne, maoïste, française, méditerranéenne, athéiste, non conformiste, pan arabiste, coté de partout, de proximité, unique. Les idées qui sont siennes sont en avance sur notre époque, car les Français qui ne le comprennent pas et qui par ignorance ne reconnaissent pas en lui l’une des plus grandes figures politiques post napoléonienne, devraient revenir à la simplicité de la raison, qui ne laisse pas de place au doute. Il est des nôtres !
Une vision de la chose à lire comme une histoire toute personnelle, pourquoi pas ? Sauf que, cette histoire de racisme n’aurait de sens que si l’origine prenait naissance de la couleur... de la peau. Or, c’est la réflexion de morvandiau qui a fait « tilt », car à juste raison, son histoire aussi mérite d’être estampillée « racisme ». Alors je vous le demande : si en France il n’y avait que des Français, disons de « souche » comme on dit aujourd’hui, exclusivement de « souche », à 100 % de « souche », est ce que pour autant on n’entendrait pas que le brun vient d’ailleurs, d’Espagne ou d’Italie par exemple, que le blond là est de l’Est, plutôt « alsaco », voire « lorrain », pas totalement « bien de chez nous », que celle-là est une « p... » de sortir avec celui là qui est finalement pas comme moi ? La question est-elle une question de couleur ou de savoir vivre ensemble, d’apprendre à vivre la différence, d’apprendre à se changer soi même ? La question vaut pour moi aussi !