lloyd henreid, vous avez vomi mon commentaire... il vous restait quelques chose à vomir ? Vous avez bien fait. Cette considération mise à part, j’ai apprécié la teneur du vôtre, qui est plus fouillé que le mien c’est vrai. Perso, je vomis la laideur, la méchanceté, la haine du prochain, choses que je ressens douloureusement chez tant de commentateurs lorsqu’ils opposent leurs convictions à de simples témoignages de vie. Puisqu’ils souhaitent apprendre à vivre à ceux qui se plaignent, bien qu’ils méprisent leurs témoignage et leur manière d’aborder l’existence, qu’ils fassent oeuvre didactique et de manière tolérante et humaniste.
lloyd henreid, la violence de Foufouille, je parle de la manière dont je prends si souvent ses commentaires en pleine figure, vient en effet de provoquer chez moi un débordement incontrôlable. La violence, arme des faibles ? Vous avez tout compris. Que faire des faibles, au fait ? J’ai tant entendu « il leur faudrait une bonne guerre » que je commence à croire qu’elle ne saurait plus tarder. En Grèce, puisque c’est le sujet en question, qui devrait nous inciter à la compassion ou au moins à la retenue, elle est ouverte contre le peuple ; qu’est-ce qui nous permettrait de croire que les gens les plus fragiles en France y échapperont, s’ils ne sont pas encore touchés ? Et enfin, la vie ne se résume pas à survivre, et lutter pour une vie décente avant que l’irréparable ne survienne, est simplement vital. Nous avons connu des sociétés plus justes, dans lesquelles la vie était plus facile (certains semblent penser qu’en conséquence elle avait moins de valeur...). La violence, arme des faibles, mais aussi des salauds et des imbéciles fort-à-bras.