réponse hors sujet ... je veux dire que j’ai le choix dans ma palette d’utiliser pour des clients, les voies classiques : aérien maritime, routier, barges, ferroutage. Je peux dévelloper.

Il n’existe qu’un moyen qui se satisfait a lui même : la route. Aucun autre moyen n’est suffisant a lui même (bien sur pas pour importer des usa par exemple, mais il faudra toujours un camion). Aujourd’hui les clients veulent 2 choses : prix et délais. Un camion peut charger 5 tonnes a bruxelles et livrer le lendemain, a vierzon. Un train ne le peux pas, il faut une approche par camion un déchargement, humain si c’est du vrac, un déchargement et un camion pour relivrer, soit 3 jours... personne n’en veut. le transport par barges est interessant, et tarifairement aussi, mais le delai et l’infrastructure sont un handicap énorme (on ne peut pas livrer avoriaz par exemple en barge).

j’ai essayé le sernam, une catastrophe. des retard des pertes, des grèves etc, on peut penser améliorer la structure mais les délais sont incompressible.

Celui qui regarde cette profession de loin, pense à 30 tonnes de marchandises. Mais la plus part des envois sont de petits ou moyens lots, il faut donc le combiner a d’autres marchandises, et optimiser un chargement d’ou encore une perte de temps et une rentablité qui ne peut être due qu’a cette optimisation. Se confrontent alors la notion de rentabilité et de service public. Ce qui donne un sernam en perte chaque année.

Se pose encore le problème des transports de matière dangereuses, et la encore c’est pas 30 tonnes mais parfois un conglomérat de marchandises incompatibles. Sans compter que le propre du rail est de traverser les villes quand le dangereux ne doit pas.

voila donc en partie une des raisons du pourquoi le ferroutage est un bel argument avancé a chaque campagne. Le constat de terrein c’est qu’il ne fonctionne pas, qu’il reste cher et peu souple, et que cette souplesse n’est que peu amliorable.